Les origines du Parc…

de 1658 à nos jours.

14 janvier 1658

L'origine du nom "Battières"

Noël Bastier, marchand guimpier (muletier) de la Ville de Lyon, racheta les parcelles de ses voisins pour former son domaine actuellement Centre Educatif Elise Rivet.

14 janvier 1658

28 juin 1962

L'acquisition du terrain

Acquisition du terrain par adjudication publique à la barre du TGI de Lyon.

28 juin 1962

Matrice cadastrale

Sur la matrice cadastrale, le terrain est enregistré à la :

  • Section U
    • N° 107, 108, 109, 110, 111, 112, 113, 114 et 115

28 juin 1962

28 juin 1962

Contenance

Le terrain mesure 50 598 M².

28 juin 1962

Cession à la ville de Lyon

Une bande de terrain de 6 900 M² a été cédée à la ville de Lyon pour en faire l'actuelle rue Eisenhower. En échange, nous avons récupéré le chemin des Battières, d'une surface de 600 M², qui se trouve le long du mur du parking EST.  

28 juin 1962

1 décembre 2022

Un peu de patience !

La recherche des documents est en cours. Cela peut prendre un peu de temps, mais nous faisons notre possible pour terminer cette page au plus tôt.

Fut présent, honorable homme Noël Bastier, marchand bourgeois de la ville de Lyon.

La première mention du toponyme « La Bastière » apparaît dans une quittance du 14 janvier 1658. Simon Chavassier, fermier du prieuré de Saint-Irénée, reconnaît avoir reçu de Jean-Baptiste Dulieu, écuyer, conseiller du roi, la somme de 147 livres correspondant au retard des redevances sur sa maison de la Bastière et des Bruyères. Cette colline était auparavant connue sous le nom d’Aleyse ou des Bruyères. L’hypothèse parfois formulée d’une origine liée au métier de « bastier » ou muletier n’est pas vérifiée. Ce nom de lieu n’apparaît jamais dans les nombreux écrits que les Archives Départementales et Métropolitaine du Rhône possèdent. Ce terme d’abord féminin est issu du nom de la fille de Noël Bastier, marchand guimpier à Lyon à la fin du XVIe. Ce marchand de fils d’or glissé dans les tissus de soie avait acheté de nombreux terrains à l’emplacement actuel du centre éducatif Notre Dame, de la tour et du collège des Battières sans oublier une vigne bien placée sur le coteau de Ménival à l’emplacement actuel de la résidence « La Pierre Levée. Le nom s’est ensuite transformé au masculin pluriel pour donner « Les Battières ». À noter que nous pouvons dater la création du chemin qui deviendra la rue des Battières aux alentours de l’année 1500 lorsque cet immense domaine de la Grange de Saint-Irénée sera loti. Les futures rues des Battières et des Noyers furent tracées pour desservir les 66 lots créés sur ce domaine.